samedi 8 octobre 2011

Rois, ours, loups et suisse


II semblerait qu’il puisse exister certaines analogies curieuses entre quelques cantons du Pays Suisse et la région du Pilat et ses alentours.
Nous ouvrirons ce travail de recherches sur des événements historiques. Ces faits méritent notre attention à plus d'un titre car ils pourraient, à brève échéance, déboucher sur des constatations ou hypothèses qui éclaireraient le passé de la région du Pilat sous des angles nouveaux et inédits.
Ce chapitre sera abordé sous deux aspects:
1) Nous commencerons par une étude d'événements, de personnages, de lieux historiquement connus et puisés à des sources bibliographiques incontestables.
2) Ensuite, nous tenterons d'interpréter ce que peut signifier, ou masquer, ces aspects historiques sur des plans plus “hermétiques”, symboliques ou traditionnels. Dans la mesure du possible, une sélection a été faite afin de mettre en relief ce qui se rattache directement à cette région de France et à son passé.
Historique
Nous sommes au Ve S. La tribu germanique des Burgondes s'empare de la Franche-Comté, de la Côte d'Or, de la vallée du Rhône, des pays riverains de la Saône et de ce qui s'appelle, à cette époque, « Cité Ségusiave » : le Lyonnais et le Forez.
Ainsi se fonde le royaume de Burgondie qui durera de 443 à 534. Le siège et la chute d’Autun, grâce au concours des fils de Clovis, mettent fin à cette occupation…
Par les écrits de Sidoine Appolinaire, évêque de Clermont et gendre de l’empereur Avitus, nous possédons quelques chroniques sur ces Burgondes qu’il fréquente sur la région lyonnaise. Ce poète les décrit comme « géant de sept pieds de haut… » (environ 2,30m), mais aussi comme « les plus doux des barbares… »
Ce peuple conserve la division romaine du territoire en ‘Cité’ et ‘Pagus’. La Cité est gérée par un ‘comte’. Ce titre, à l’origine, est un gage de fonctionnariat. Puis un évêque siège et délibère avec le comte en place. Peu à peu le pouvoir spirituel rejoint le temporel… Ces régions restent unies en une seule ‘Cité’ durant toutes les époques mérovingiennes et carolingiennes.
879: Depuis deux ans Charles le Chauve est mort. Après les Normands, les Sarrasins prennent pied sur la Méditerranée. Devant l'incapacité des responsables royaux, les représentants de la Bourgogne, du Lyonnais et de la Provence se réunissent près de Vienne (Isère), à Montailleu, pour former un état indépendant et prennent pour roi un parent de Charles le Chauve, BOZON.
Notons qu'il s'agit du personnage qui devient gouverneur de Vienne après la rédition d'un certain Gérard de Roussillon… qui s’illustra à Vézelay pour les reliques de Marie-Madeleine !
Bozon, ayant souhaité être sacré roi dans la ville de Lyon, règne maintenant sur un territoire, souvent appelé “Royaume de Provence”, qui s'étend du Jura et des Alpes aux Cévennes et de Marseille aux Faucilles... Dans ce nouveau “royaume” se trouvent inclus le Forez et le Jarez.
Bozon décède en 867 à Vienne… Il laisse son royaume trois ans sans successeur. Sa femme, Ermangarde, petite fille de Charlemagne, à force d'intrigues, fait couronner son fils Louis qui accède au pouvoir sous le nom de Louis l'Aveugle.
Ce dernier règne jusqu'en 928. Dès sa disparition une partie du royaume, dont la Provence, est administrée par Hugues, marquis de Provence et Comte de Vienne. Cinq ans plus tard a lieu 1'événement qui nous intéresse:
En 933, l'ensemble des possessions de Louis l'Aveugle est annexé par Rodolphe II, Roi de Burgondie !
A quoi correspond ce territoire? En effet, il ne peut plus s'agir de l'ancien royaume Burgonde dépecé il y a longtemps. Il ne peut, non plus, être question de ce peuple Burgonde « Chrétien, mais de secte arienne, peu violent, travailleur et soucieux de vie calme... ». La question reste entière…
Qui est Rodolphe II? Ce personnage est un allemand de la famille des WULF. Il est issu de la dynastie créée depuis 888 dans le Valais, sur les rives du lac Léman en Suisse! Son territoire se compose d'une portion de la Suisse actuelle, de Bâle, du bassin du Doubs et celui du Rhône jusqu'à Arles. Ce nouvel état, dont la résidence capitale est Vienne… ou Saint Maurice en Valais, porte le nom de ‘Royaume d'Arles’!
A la mort de Rodolphe II, ce royaume est annexé à la Germanie. Il est important de souligner que ces régions Forez, Jarez et Lyonnais restent annexées à l'empire Germanique pratiquement jusqu'à la fin du Xlle S.
Notes annexes à l'Histoire
SUISSE: Revenons quelques instants sur ce canton de Valais en Suisse. II est extrêmement difficile de savoir qui a donné vraiment l'antique nom d'une des principales villes du Valais: SION.
SION dont le nom ancien est DRUSOGMAGUS. Celui, ou celle, qui se trouve à l'origine de ce nom était-il chef de guerre, sage, initié, de souche royale ou encore descendant de la tradition celte?
Si l'on s'en réfère à « la langue des Oiseaux », nous avons là une indication qui nous renvoie à l'ancien nom biblique de la ville de Sion URUSALIM, nom magique et lourd de sens, que nous trouvons sur les cartes d'El Amarna ! La connaissance de cette langue hermétique nous conduit directement à URSUS.
Ours
URSUS = L’ours ! L'ours symbole de la capitale fédérale de la Suisse, l’ours symbole du roi Arthus dans les traditions chevaleresques... l’ours totem des familles de Roussillon… L’ours dans les armes du secteur de SOS dans les Pyrénées… L’ours dont le nom est peut-être celui de la fameuse grotte où se rendaient les Périllos en pèlerinage…
Mais qu'il s'agisse du DRUS romain, du DRUIS des collèges celtiques, de DRYS (fils du chêne en grec) ou de ces rois ours issus de la nuit des temps, c'est sur leur trace que la grande Tradition repose. Toujours est-il que, DRUS ou Roi-Ours, le sens profond de leur connaissance est identique à celui de ceux, parfois prieurs, qui cherchent à renouer avec l'héritage de Jérusalem ou entr’autres, le symbole de l'énigmatique Klingsor constitué probablement, afin de mettre à jour la connaissance de Wolfram Von Esschenbach... Nous noterons au passage l’étrange château attribué légendairement à Klingsor en Espagne et où Otto Rahn est allé pousser ses recherches en compagnie de Himmler… Ne dit-on pas que les origines de ce château, convoité par Napoléon et surtout Salvador Dali, seraient mystérieusement mêlées à celle du vieux territoire de Périllos… en Roussillon ?
Mais revenons à notre ours. Nous savons, grâce à T. Lavallet, que près de Vienne les contrées du Pilat sont rapidement sous le contrôle d'une famille URSEULUS» qui se prétend d'ailleurs « fille de la lune ». Dès le IVe S. le nom change un peu et devient RUSSEOLUS. T. Lavallée les rattache directement aux grandes familles de Roussillon. Cette dernière famille s'imposa sur un secteur assez large du Pilat et alentour par des noms illustres tel: Gérard de Roussillon, Guillaume de Roussillon et son épouse Béatrice, fondatrice du monastère Chartreux de Sainte-Croix-en-Jarez. Nous reviendrons bientôt sur un ou deux éléments qui permettent d’affirmer, contrairement aux ténors en la matière, que la famille de Roussillon fondatrice (par l’épouse interférée) de Ste Croix est bien originaire du sud et non d’un autre lieu…
Est-ce un hasard si le symbole de l'ours, animal essentiellement solaire, est considéré fondamental dans l'alternance des saisons comme l'observe Gaston FOEBUS au XIVe S?
L’ours, emblème de Berne… et d’Artus. Sur la Kornhausplatz, fontaine du « mangeur d’enfant »
Cette représentation de balancement d’une année sur l'autre fait de ce plantigrade, gardien du passage temporel, un étrange Janus à face animal.
N'oublions pas, non plus, qu'il marque l'ambiguïté entre les principes solaire et lunaire. Solaire, par sa présidence au changement d'année solaire. Lunaire, car la mythologie le fait accompagner Artémis, divinité lunaire, dans l’exécution de ses rites. Dans ce cas, l'ours présente une des deux faces de la dialectique liée au mythe lunaire ; en effet, en Gaule, la déesse Àrtio (idem pour Berne) marque l'aspect du caractère féminin de la caste guerrière sous la forme d'un ours ou d'une ourse. Cet état féminin nous renvoie au CERBYD ARTHUR, chariot d'Arthur pour les Gallois, qui y voient les deux constellations à symbolisme Polaire: la grande et la petite ourse, et plus particulièrement la grande ourse (que l’on retrouve dans la grotte ‘Oursv’ de Périllos !).
Enfin, observons que cette constellation est composée de sept étoiles! Dans l'apocalypse (1-16) le Christ du nouvel avènement tient dans sa main droite sept étoiles. Pour la tradition hermétique, l'étoile la plus proche de la main du Christ est curieusement la polaire, premier filet de la constellation boréale… Mais en cherchant bien, il doit exister d'autres manifestations religieuses et symboliques basées sur les sept étoiles et le nouvel avènement, non encore dévoilées... ou révélées.
Loups
Honoré d'Urfé chevalier de l'Astrée
Rodolphe II appartint donc à la famille des WULF. Curieusement, nous retrouvons dans le Forez une famille qui prétend descendre aussi des WULF.
WULF, en langue germanique, vient du mot « loup ». Il est étrange de constater, puisqu'il est question du « FOREST » ou « FOREZ », que les Loups-Wulf y laissèrent un souvenir qui reste tenace dans les très lointaines origines des familles d’URFE!
Anne d'URFE propose la déclinaison suivante du nom de sa famille: WULF > WELFES > VULPHES > ULPHE >ULFE.
Pour des raisons tragiques, son enfant ayant été dévoré par des loups, Pierre d’ULFE change le nom qui deviendra URFE !...
Puis Honoré d’URFE écrit « l’Astrée ». Le loup, sous une approche symbolique et voilée y tient une importance et une place de choix : ce loup et l'exilé (les Volques), les défroques et peaux de loups revêtues comme des totems permettant le mimétisme.
Les héros surtout s'apparentent curieusement au loup:
- Lycidas (Anne d'Urfé) du grec Lycas, le loup.
- Olympe, maîtresse de Lycidas. Cette dernière n'est autre, dans la réalité, que Marguerite de Lupé… Lupé > Lupus > le Loup! Olympe dans la mythologie est la fille de Lupeandre: le loup-garou.
- Climante, le faux druide, apparaît comme un véritable loup-garou, qui entraîne Galathée dans la forêt… Cette forêt (peut-être faut-il lire ‘forest’) qui symbolisa l'enfer et la mort. Pourtant, ce milieu favorise l'indispensable passage d'un état à un autre. Ce milieu «forestier » (où on peut resituer la langue verte !) ne vit et n'existe que par l'arbre qui le constitue de vert (la langue ?) et d'ombre (le secret), et aussi par les animaux qui l'habitent. Dans l'Antiquité, l'âme de cette forêt était représentée par le chêne, et le roi de ce monde végétal hermétique était pour l’occident central et méridional, le loup. Pour la Finlande, le loup aura un compère… l’ours!
Faits isolés sans liens apparents…
Les Burgondes s'implantent sur la région du Forez, Jarez, et Lyonnais... Ces territoires passent de mains royales en mains royales jusqu'à Rodolphe II. Il se déclare roi d'un pays appelé Burgondie. L'origine trouble de ce territoire serait un secteur de Suisse. Rodolphe serait issu d'une famille WULF qui signifierait Loup, totem dont il ne se cache pas pour s’en réclamer. Ses territoires échouent à l'empire germanique jusqu'à la fin du XIIeS.
Notons que :
1) l'emblème totémique de Rodolphe II serait le loup (wulf), et aussi qu'une famille du Forez, ancien territoire de Rodolphe II, conserve un souvenir tenace du nom de cet animal...
2) que l’héraldisme de la ville majeure, dans la région d'origine de Rodolphe II, est l'ours. Du reste, cet animal, l’ours, est l'emblème totémique d’une autre famille implantée dans le massif du Pilat en France.
Les deux animaux, le loup et l'ours, ont des complémentarités symboliques indiscutables et souvent indissociables... qui se retrouvent dans les liaisons historiques, géographiques et traditionnelles du pays de Pilat, Forez, Jarez et le Valaisin en Suisse.
- En février 1627, Catherine de Meuillon demande à acquérir une terre située à ‘Fief Lacombe’ nommée “Trou des Loups”. Cette demande est adressée suite à plusieurs courriers échangés avec Polycarpe de la Rivière, prieur en place à Ste Croix-en-Jarez.
- Catherine de Meuillon est dame de Lupé.
- Polycarpe de la Rivière séjourne au château d’Usson durant l'exil de Marguerite de Valois… Durant la même période où cette cour est assidûment fréquentée par Honoré d’Urfé!
- Toujours à cette cour d’Usson, et à cette époque, on note la présence de Philibert Delorme, architecte qui redessinera le château de Lupé.
- Le ‘Trou des Loups', à ‘Fief Lacombe’, propriété des chartreux de Ste Croix-en-Jarez est inspectée et estimée par un expert désigné sur ordre royal en vue de recensement des mines potentielles. Cet expert est Blumestein qui en 1741 travaillera sur ‘Fief Lacombe’ et sur les mines d’Urfé!
- À la Bibliothèque Municipale de Lyon (Part-Dieu) on note avec curiosité, en consultant la « Revue du Lyonnais » Tome XXX de 1865, p. 50, en marge à gauche, un intéressant « rajout » manuscrit.
Il s'agit de l'article de A. Vachez ayant pour titre « Fondation de la Chartreuse de Ste Croix-cn-Jarez ». En cours de texte : « ...vendue comme bien national pendant la Révolution, la Chartreuse de Ste Croix est devenue un village »… Entre « national » et « pendant » (la Révolution) il a été rajouté par une main anonyme: « à M. Monloup »!
Or, il semble être question nulle part dans les actes retenus à propos de la vente de Ste Croix, que le monastère eut été vendu à un « Monsieur de Monloup... »
- Château de Lupé: Lupus jusqu'au XVIIe S., il sera le triste théâtre de la conception d'une division de la Waffen SS : la Division CHARLEMAGNE. Le numéro militaire de cette dernière est le 33 (sans commentaire) !... Ce sera la dernière manifestation visible de tentative d'un projet de reconstitution nobiliaire du Saint Empire Germanique de Charlemagne… Nous reviendrons plus longuement sur ces évènements, et d'autres à propos de Lupé, dans d'autres articles sur ce site.
A propos de Polycarpe de la Rivière
- Il semble reconnu, par tous les auteurs ayant traité ce sujet, que ce prieur eut accès à des documents ou informations de première importance en ce qui concerne toute une époque du passé de ce secteur géographique du Pilat sur le plan historique. Officiellement, hélas, Polycarpe ne donna jamais, dans un premier temps, les sources d'origine de sa précieuse documentation.
- Dom Polycarpe sera reconnu et soutenu dans ses écrits et publications jusqu'à l'édition de son “Angélique”.
- Dès 1638, sa situation se détériore extrêmement vite et les ouvrages du chartreux sont pratiquement tous censurés et interdits sur intervention des autorités ecclésiastiques. Les écrits concernés par cette ‘censure’ étrange sont surtout ceux ayant attrait à l'histoire ancienne d'Avignon et Provence.
- Son ouvrage: « Vents soubs les eaux- Eaulx sous la terre » est un très curieux travail sur les eaux des secteurs suisses Genevois des lacs Léman et de Vierwald... Le Vierwald est un lac au pied de Pilatus en Suisse!
Suisses !
- « ... Le dernier prieur de Ste Croix, Dom JP Linvhinac et le dernier procureur Dom B. Bon trouvent asile en Suisse en quittant la Chartreuse de Ste Croix… » A. Vachez.
Vachez
- A. VACHEZ, recherchant les documents et archives de Ste Croix ayant éventuellement échappé aux flammes révolutionnaires, correspond avec un érudit ripagérien, ainsi qu’avec une bibliothèque Suisse qui en détiendrait encore une partie conséquente…
- 1993: découverte en Suisse de quelques ouvrages religieux ayant appartenu, avec d'autres objets religieux, à la chartreuse de Ste Croix-en-Jarez.
- Terminons ce propos avec cet extrait de l'ouvrage de J. BEYSSAC écrit en 1926 (cote b.n. 451.458) : « Rapports de l’église de Lyon et de l'ordre des Chartreux ». Au chapitre Ste Croix-en-Jarez, après un bref résumé de la fondation de Ste Croix par Béatrix, puis une liste des principaux donateurs, on peut lire:
« à la suite des Chartreux qui ont eu des rapports intimes avec l'Eglise de Lyon, il y a lieu d'en citer quelqu'autres qui ont été l'objet de libéralités particulières de la part des membres de cette église: AILLON, POMIER et VALON au diocèse de GENEVE, ORGON au diocèse de IAUSANE et VILLENEUVE LEZ AVIGNON »
S'il semble utile de souligner, sans pour autant en donner une explication, la chronologie curieuse des lieux cités, il paraît également opportun d'en souligner certains: POMIER, VALON, ORGON, et… AVIGNON !
Avertissement
S'il faut considérer tous ces éléments et ne plus les écarter de notre travail, il faut toutefois les interpréter avec prudence vis à vis d'une recherche comme celle-ci… Cependant, il semble désormais nécessaire de “compter avec” et de reprendre un certain nombre de données et de faits laissés dans l'oubli et l'ignorance... Parfois dans le domaine du symbolisme et de l'héraldisme, mais aussi et surtout dans certains détails de l'histoire de notre passé.
Nous reviendrons sur tous ces points et les approfondirons au fur et à mesure qu'il le sera utile et nécessaire...
Benoist Riviere

1 commentaire:

  1. A tous nos visiteurs et visiteuses. Nous vous remercions de l'intérêt que vous voulez bien porter à nos textes. Vos encouragements et vos commentaires si chaleureux et sympathiques nous sont des plus précieux. Nous voudrions seulement ajouter qu'il serait tellement plus chaleureux de laisser vos coordonnées afin de vous répondre directement et puis c'est quand même plus courageux, non? Bref... nous sommes formels et maintenons que Polycarpe et l'architecte P. Delorme fréquentèrent bel et bien le château d'Usson en Forez. Seuelement nous avons beau nous écarcher la peau des yeux nous voyons nulle part avoir écrit qu'ils s'y rencontrèrent. Il y a nuance entre ce fait et celui qu'ils aient tous deux été dans ces murs simultanément ce qui est forcément incongru. La lacheté rend les gens minable et la colère non justifiée explique l'anonymat... ;-) et encore merci pour votre fidélité. A bientôt?
    André Douzet

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