dimanche 28 août 2011

l'histoire insolite du Château des Loups


L’an 665
“Environ l’an six cent soixante cinq, un gentilhomme nommé Valdebert seigneur de Lupé (qui est un château et ancienne place du FOREZ appelé en latin Luponium) fort vertueux et craignant Dieu, grand ami de St Ennemond archevêque de Lyon fut mandé par ce saint pour le venir voir et le consoler dans les grandes persécutions que lui faisait Ebroin...” Ce texte de J. Marie de la Mure, traduit en 1674, relate un évènement remontant au 7ème S. et fait état de l’importance des seigneurs de Lupé.
Le Loup pour arme parlante
Les Lupé sont une des rares familles de France à porter dans leur blason le symbole du Loup (Lupus). Déjà Paradin dans “Histoire de Lyon” nomme le site “Villam Lupoïcum”, soit “Villa du Loup”. Nous ne ferons, ici, qu’aborder sommairement le symbolisme du loup. Disons d’abord que le loup est la lumière, le soleil, le guerrier et l’ancêtre mythique. Grecs et Nordiques sont en accord sur ce point. Retrouvons pour mémoire la femelle loup de Monnolycée, nourricière de l’Achéon... aussi le vêtement de peau de loup couvrant Hadès roi des enfers... Le dieu de la mort des Etrusques, avec ses oreilles de loup... la résurrection d’Osiris sera prévue sous la forme de cet animal (Diodore de Sicile)... Zeus prend les traits du loup pour recevoir les offrandes destinées à faire venir la pluie...
La vieille famille de Lupé
Le document le plus ancien faisant état de cette famille remonte à 662 ou 665 et est cité, ci-dessus, par J.M. de la Mure. D’autres écrits montrent l’importance des Lupé qui entretiennent leur propre armée. Ils sont en outre conseillés auprès des rois et des princes en place qui les appellent “Cousin”... Fait très rare, au combat ils marchent même devant l’oriflamme des rois, ce qui fait d’eux une des premières et des plus anciennes noblesses de France dont l’origine serait la lignée directe de Mérovée! Cette importance se maintiendra jusqu’au règne de Charlemagne. A ce moment Lupé semble jouer un rôle capital pour une opération sur laquelle nous possédons peu d’éléments. Nous savons seulement que le château abrita un dépôt extraordinaire.
Les Falatier et la grande Ourse
Château de Lupé
Au Xe S. la famille de Falatier prend possession des domaines de Lupé. C’est à ce moment que le château prend la forme de base que nous lui connaissons. Certains écrits, dont ceux de G.M. de Waldan, relatent que les tours du bâtiment principal et les tourelles de l’enceinte secondaire auraient été implantées selon la projection de la Grande Ourse... avec pour axe principal l’étoile Polaire. En ce cas nous remarquons que le plan du corps d’habitation seigneurial reproduit un polygone à 7 côtés!
... Sous l’autorité des Templiers!
- Fin de l’an 1274, le pape, le roi de France, l’archevêque de Lyon et l’évêque de Vienne séjournent à Lupé sans que l’on ne sache vraiment le véritable motif de cette visite inhabituelle et sûrement capitale pour justifier un tel déplacement qui devait demander une solide intendance!
- Guigue de Falatier et ses fils font partie des derniers renforts envoyés sur ordre royal aux derniers croisés retranchés dans St Jean d’Acre... sous les ordres de Guillaume de Roussillon, leur voisin de pays et époux de Béatrice, fondatrice de la Chartreuse de Ste Croix. Seul Guigue reviendra de ce désastre suicidaire. Notons au passage que la mission de cette ultime expédition sans espoir était de se mettre sous l’autorité des Chevaliers du Temple... “à seule fin de sauver de l’essentiel ce que peut”; On peut encore se demander de quoi se composait cet essentiel?
Alliance avec la maison d’Arques
Château d'Arques (Aude)
Puis le domaine de Lupé passe, par alliance aux de Gaste.
Un fait très curieux sous cette famille mérite que l’on s’y arrête. Nous sommes à une époque où la chute du Temple est consommée. Pourtant un document atteste une transaction, passée au Puy-en-Velay, entre Guillaume de Gaste et les templiers de Marlhette (l’unique maison forte du Temple dans le Pilat). Si une transaction n’a rien d’extraordinaire, précisons que le document est daté de 1339. A cette date nous sommes obligés de souligner que l’ordre du Temple est suspendu depuis 1312... date du concile de Vienne, justement au pied du Pilat!
Les de Gaste détenaient le droit de haute et basse justice, par faveur royale, par le seul fait d’être seigneurs de Lupé!
Autre fait insolite: la double alliance entre les de Gaste et les de Joyeuse.
- Anne de Gaste épouse François de Joyeuse.
- Claude de Gaste (frère d’Anne) épouse Françoise de Joyeuse, tante du cardinal de Joyeuse.
Rappelons que les de Joyeuse étaient seigneurs d’Arques, près de Rennes-le-Château. Pourquoi une double alliance sur le frère et la soeur avec les seigneurs d’Arques... dont les domaines sont à plus de 500 km et donc sans espoir d’extension de territoire solidaire et tenant? A moins, et cela semble évident, qu’il n’y ait une exigence majeure et impérieuse justifiant une telle alliance. Ce dut être le cas, mais pour quelle raison?
L’énigme des Urfé
De l’union de Claude de Gaste et de Françoise de Joyeuse naîtront 4 enfants. L’un d’eux, Marguerite de Gaste, sera chantée par Anne d’Urfé qui en était follement épris.
Les Urfé, dont le nom dérive des Ulfe et des Wulff... encore des loups, mais germaniques cette fois!
Honoré d’Urfé écrira “L’Astrée” dont tant de passages se rattachent aux loups, déguisés ou non: les Volques Tectosages, Lycidas, Olympe fille de Lupeandre... identifiée à Marguerite de Gaste Lupé! A la lecture de L’Astrée il est indéniable que la famille d’Urfé ait été en possession d’un très haut niveau initiatique apprécié d’autre part par ceux qui fréquentaient le lieu.
19 décembre 1598. Catherine de Millon, dame de Lupé, épouse Rostrale du Baume Comte de Suse. Elle négociera avec Polycarpe de la Rivière, prieur de la chartreuse de Ste Croix (construite par Béatrice de Roussillon) pour le rachat à prix d’or de “Fief Lacombe”. En vérité, sur ce lieu aurait été ouvert un puits de mine pour en faire extraire du plomb... par des ouvriers qualifiés venus expressément d’Allemagne! Ces faits sont confirmés par Blumenstein chargé, sur ordre royal, d’estimer les mines cartusiennes en 1741. Blumenstein travaillait au même moment pour les Urfé. Ajoutons enfin que la mine de “Fief Lacombe” s’appelait “Trou du loup”!!!
Le temps des Loups et des Louveteaux
Sur un courrier adressé à Polycarpe Catherine de Meuillon confie, pour justifier l’achat impératif de cette terre: “ le temps des Loups tout proche et les Louveteaux en le pays...” De quel temps et de quoi est-il question dans cette phrase que le prieur semble très bien comprendre? En outre “Louveteaux” (avec une majuscule) s’appliquera, plus tard, aux membres d’une société très “discrète”, qui aura aussi, en son temps, des intérêts dans une partie de cette énigme.
Territoire de Lupé (Loire)
Le prieur Polycarpe
Au moment des faits il est prieur de la chartreuse de Ste Croix très proche de Lupé. Son nom de chartreux est Polycarpe de la Rivière, mais sa véritable identité est une énigme que personne n’a pu résoudre à ce jour. On sait seulement qu’il est d’origine noble de haut rang. Il est éduqué et instruit, de 1586 à 1605, justement à la cour d’Urfé, au château d’Usson (même orthographe que celui des Corbières) où était hébergée, pour raison de sécurité, Marguerite de Valois. Au départ de cette dernière “on” lui conseille vivement d’entrer dans l’ordre des Chartreux où il sera presque aussitôt admis au grade de prieur, ce qui est une exception remarquable.
Un “thrésor inestimable...”
Dès son arrivée à Ste Croix, Polycarpe aurait mis à jour subitement ce qu’il décrit comme un “thrésor inestimable” qui lui aurait permis de financer la reconstruction presque totale de cette chartreuse... après en avoir détruit une partie et modifié considérablement l’axe principal. Il prendra soin de sauvegarder les détails les plus hautement hermétiques et symboliques. Il semblerait qu’il ait surtout mis à jour des documents qui lui permettraient d’écrire une nouvelle généalogie des rois de France et une “véritable histoire des origines de la religion”. Le tout sera fermement censuré par le Vatican avec interdiction d’aller plus avant dans cette grave “hérésie criminelle”. Cette mise en garde sera assortie de fermes menaces d’emprisonnement et d’un procès par l’inquisition. Une telle mesure pour dissimuler quelle formidable vérité ?
Il aura le temps de commencer son oeuvre forte de plus de 2000 pages manuscrites... sur une desquelles, d’ailleurs, il recommande vivement la restitution à un certain “Roy Denys” d’un certain “fabuleux thrésor”...
Les modifications de Philibert Delorme
A Usson Polycarpe rencontra forcément un autre érudit, ami d’un certain Nicolas Poussin et d’un certain Charles Perrault, le célèbre architecte Philibert Delorme... qui, durant les travaux de Ste Croix, modifiait considérablement certaines parties souterraines, et de surface, du château de Lupé: démolition de l’ancienne entrée, les défenses secondaires, comblement des douves au niveau des souterrains et une partie de la cour intérieure... effaçant ainsi, à jamais, le tracé de la constellation de la Grande Ourse et l’axe sur la Polaire.
Vue de la salle innondée sous le château
Un lieu très ancien
Mais si les structures du château subissaient des modifications importantes, les accès extérieurs et la topographie restaient inchangés et chargés d’un mystérieux passé mégalithique, druidique aux consonances particulièrement symboliques: Belin, le Plat-Belin, l’Ermitage, Sallecroix...
Lupé (42) est au sud-ouest de Vienne (38), au-dessus de St pierre de bœuf et peu avant Maclas. Les vestiges que l’on trouve encore dans le village attestent de l’importance des anciennes fortifications exceptionnelles en ce lieu. Une des premières portes de la Provence, Lupé défendait et verrouillait la voie antique remontant sur la Haute-Loire.
Encore l’ordre du Temple!
L’Ordre du Temple utilisait régulièrement ce cheminement pour véhiculer discrètement, en toute sécurité, l’argent, le plomb et l’or provenant de ses mines du secteur de Bourg-Argental... et d’autres étranges métaux aux effets moins métalliques que spectaculaires, peu connus pour l’époque, tel que des minerais un peu radioactifs... comme le prouve la fameuse coupe “d’Embertauld” que la commanderie templière de Marlhette semblait détenir jalousement!!! L’objet disparaîtra avant l’arrestation des Templiers. Si on dit qu’elle stationna, en toute sécurité et discrétion, dans les murs du château de Lupé, on ajoute qu’elle donnait la possibilité de tuer par étranges brûlures... ou au contraire soigner miraculeusement des maladies irrémédiables, selon le côté ou l’on conseillait de poser les lèvres.
Marie-Madeleine et la maison oubliée
Le pentacle sur la fenêtre (Champailler)
Du château part un chemin bien innocent. Il serpente de hameaux en fermes, tous et toutes appartenant aux Lupé, jusqu’à une chapelle Ste Marie-Magdeleine. Suivons le sentier et passons “la Pierre des Morts”. Nous arrivons au hameau de Champailler. Ici le temps s’est arrêté. Il restait là une énorme bâtisse ancienne percée d’ouvertures du plus pur style gothique. L’une des fenêtres s’ornait d’une sculpture étrange prise dans un pentagone. A l’intérieur trois formes: une silhouette anthropomorphe et cruciforme constitue une sorte d’axe. De part et d’autre deux êtres plus petits équilibrent l’ensemble. Celui de droite agenouillé tendant bras et mains touche la croix. Le trait de son vêtement symboliserait une femme. A gauche le second personnage ne touche pas la croix, les traits dans son dos présentent des ailes d’ange.
Ce qui était caché!
Mais le plus curieux était à l’intérieur. En vérité ce bâtiment en contient un autre plus petit qui s’y imbrique comme une sorte de ‘poupée gigogne’. Une sorte d’étui défiant à la fois le temps et la vue du simple passant. Ce qui était l’entrée principale de cette maison intérieure s’encadrait de sculptures gothiques intactes extrêmement riches de symboles ésotériques: croissants, pyramides tronquées... le tout s’achevait sur une croix potencée désaxée ostensiblement de 7 à 8 degrés. Cette dernière surmontait ce que l’on pouvait prendre pour une fleur de lys et qui était en vérité un pique de gardian... tel que l’on peut en voir aux Stes Maries de la Mer... A l’intérieur du bâtiment les clichés infra-rouges laissent apparaître plusieurs cavités obstruées.
Dans ses écrits Jean-Marcel Blandenct (1876) affirme que cette construction défendait le chemin de Ste Madeleine. Si l’épaisseur des murs confirme cette affirmation, l’intérêt visible du lieu ne justifie en rien un système de défense de cet ordre mis en place pour défendre un étroit chemin de montagne oublié ne desservant qu’un modeste lieu de pèlerinage annuel et localisé. A moins que l’écrin ne soit à la hauteur du joyau qu’il était chargé de protéger?
N.B. Le lecteur constatera que le temps utilisé pour ce chapitre est l’imparfait... Car depuis quelques temps tout été détruit à l’intérieur du bâtiment... Mais nous savons un dossier complet, relevés et photos, en sûreté.
Une chapelle et un tableau pour Bérenger Saunière
Après cette étrange halte, poursuivons le périple par des lieux dont nous retiendrons les noms: “Le Purgatoire”, “Le Paradis”, “L’Ermite”, “L’Enfer”... Nous arrivons enfin à “La Trève du Loup” et au but, sans issue, de notre cheminement: la chapelle Ste Madeleine. Là encore le petit édifice dénué de style ne justifie toujours pas un tel luxe de protection. Seul à l’intérieur un tableau peut retenir le regard. Il s’agit d’une représentation de Marie-Madeleine... dont nous avons la preuve qu’elle servit de modèle à Bérenger Saunière pour la peinture son maître-autel!!
La pauvre chapelle fut victime de plusieurs pillages. Etranges pillards qui se contentèrent d’un ex-voto... de vieilles pierres sans intérêt! Voleurs sans connaissances ou... amateurs avertis? Avertis et même très bien, c’est sans doute ce que furent les derniers pillards car le tableau de Marie-madeleine fut volé à son tour il y a peu de temps après des difficultés incroyables.
Le tableau volé de Marie Madeleine
Galeries souterraines et menaces
Le petit hameau se trouvant juste avant la chapelle fut le lieu de bien curieuses recherches. Il était dit que ce lieu était le départ de plusieurs galeries souterraines. Au début du siècle l’un des boyaux fut retrouvé et dégagé. Un ancien paysan ayant vécu ici se souvient, qu’enfant, son père parlait d’abord de la visite de deux prêtres, puis de plusieurs “Messieurs” qui l’embauchèrent pour dégager l’accès à la galerie. Ceci fait, il le prièrent de ne plus remettre les pieds ici en raisons d’émanations et de risques d’effondrements... mais y travaillèrent 2 jours durant, et firent tout écrouler avant de quitter le lieu. Les étranges terrassiers avaient mis à jour une sorte de “caisse à poignées et plusieurs paquets d’écrits en tubes” qu’ils déclarèrent sans la plus petite valeur à l’habitant du hameau...
Le secret de la Division Charlemagne
Mais revenons enfin au château de Lupé... qui aurait abrité deux illustres personnages: François Rabelais et... Michel de Nostredame. Peut-être y étaient ils venus trouver quelques gouliardises?
-Enfin Lupé s’apprêtait à vivre son épisode le plus obscur. C’est en effet dans ce château, sous l’impulsion de Mgr Mayol de Lupé que s’organisait puis naissait la tristement célèbre division S.S. “Charlemagne”!
Le projet de cette division prévoyait de réunir sous cette “bannière”, après guerre, une aristocratie dont le but inavoué et “souterrain”, était ni plus ni moins que la tentative de reconstitution du Saint Empire Germanique. Mgr Mayol de Lupé était Grand aumônier de cette division Waffen-SS dont le numéro était le 33!!!
On est en droit de se demander pourquoi cette “création d’exception” au château de Lupé, et en aucun autre endroit, perdu, oublié, sans plus d’éclat, ampleur ni célébrité, et ne correspondant pas, du moins visiblement et extérieurement, aux habitudes et impératifs militaires nazis?
Ces derniers se comportèrent très discrètement dans le village... presque clandestinement pourrait-on dire. Et puis il y eut ces topographes allemands qui accompagnant les officiers allemands, pour exécuter des relevés et mesures étranges, dans certains lieux alentours du château. On dit encore que des historiens et des experts en archéologie, acquis à la cause des Nazis séjournèrent aussi dans les murs du château. Pour s’y livrer à quelles recherches?
Enfin ne pourrait-on pas rapprocher ces travaux, inhabituels pour des guerriers de l’absolutisme, d’un certain Otto Rahn qui ne manqua pas de venir séjourner ici avant de descendre plus vers le Sud, Montségur et Montréal-de-Sos.
Des découvertes et un puits
Il y a moins de 10 ans, des travaux importants de réhabilitations furent conduits dans le château de Lupé. Des gravures, des peintures se trouvèrent remises en valeur. Des documents concernant des travaux très anciens seront retrouvés à cette occasion... entre les poutres des plafonds... afin que la poussière ne tombe pas! Nous dit-on avec le plus grand sérieux!!!
Avec les S. Pompiers la descente dans les puits
Puis encore, une représentation en peinture murale discrète (17ème S.) représentant un château et ses terres fut nettoyée et étudiée. Elle ne représentait pas Lupé ou un propriété connue appartenant au domaine des familles du château. Certains experts y auraient reconnu la reproduction d’un ancien domaine du secteur roussillonnais!
Enfin le 15 janvier 1988, avec l’autorisation des propriétaires et l’aide des Sapeurs Pompiers, avait lieu la descente dans le grand puits de la cour rénovée par Philibert Delorme. Ce que l’on croyait, d’en haut, être un puits, ne l’était en vérité que par sa margelle et sa descente. Plus de 10 mètres plus bas, la cavité vidée par les puissantes pompes de secours, était en réalité une ancienne salle voûtée avec un accès aux très anciennes “parties basses” de l’antique château. Des parties murées partent dans deux directions. Une des maçonneries semble plus récente et comporte quelques signes anciens symboliques et runiques en teinte ocre sombre. Pourquoi et pour qui Philibert Delorme préserva-t-il cette section souterraine des époques wisigothes... que les nazis ne pouvaient ignorer venant ici en toutes connaissances de causes ?
Lupé n’a sans doute pas encore délivré l’intégralité de ses secrets et quelque part aux tréfonds de ses murailles séculières reposent encore, sans doute, bien des éléments de la grande tradition...
André Douzet

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